
pour Fred
Libellule,
Tes ailes/
sont étincelles qui durent,/
vitrail/
épris du dieu furtif,/
épure/
en quête d'ombre vive.//
Tu habites le vent/
parmi les renoncules/
où nul ne voit la tige/
qui te rend si légère./
Et toi seule,/
au seuil de l'abandon,/
t'enfuis de l'instant/
qui nous rend éphémères./
Philippe Martineau
in Epure en âge d'incarnation
Pour écouter ce poème, c'est ici
Libellule reçue ! Merci infiniment Miss Yves !!! A très bientôt !!!
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