Rodin, danseuses cambodgiennes, musée Rodin, Paris
Femme à la fourrure, crayon et aquarelle, ibidem.
Croquis aquarellés personnels :
Le plaisir des taches évocatrices sur papier mouillé.
Tes interprétations sont gracieuses, je les préfère aux originaux.
Très dansantes, surtout la danseuse cambodgienne, on saisit bien les volumes, l'exagération des mouvements (haussé d'épaule de la femme à la fourrure, tourné du pied de la danseuse, souplesse des articulations). Instant figé
J'aime le commentaire de Fifi qui se révèle vrai... Quoique j'aime également beaucoup le premier dessin.
Mes envois Inspiration: Klimt, pour le MIA https://www.francebleu.fr/emission...
Tes interprétations sont gracieuses, je les préfère aux originaux.
RépondreSupprimerTrès dansantes, surtout la danseuse cambodgienne, on saisit bien les volumes, l'exagération des mouvements (haussé d'épaule de la femme à la fourrure, tourné du pied de la danseuse, souplesse des articulations). Instant figé
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