Rodin, danseuses cambodgiennes, musée Rodin, Paris
Femme à la fourrure, crayon et aquarelle, ibidem.
Croquis aquarellés personnels :
Le plaisir des taches évocatrices sur papier mouillé.
Tes interprétations sont gracieuses, je les préfère aux originaux.
Très dansantes, surtout la danseuse cambodgienne, on saisit bien les volumes, l'exagération des mouvements (haussé d'épaule de la femme à la fourrure, tourné du pied de la danseuse, souplesse des articulations). Instant figé
J'aime le commentaire de Fifi qui se révèle vrai... Quoique j'aime également beaucoup le premier dessin.
Pour C/0 BOOG P.O Box 1313 Lawrence, KS 66044 USA 20 linogravures sur le thème de la fragili...
Tes interprétations sont gracieuses, je les préfère aux originaux.
RépondreSupprimerTrès dansantes, surtout la danseuse cambodgienne, on saisit bien les volumes, l'exagération des mouvements (haussé d'épaule de la femme à la fourrure, tourné du pied de la danseuse, souplesse des articulations). Instant figé
RépondreSupprimerJ'aime le commentaire de Fifi qui se révèle vrai... Quoique j'aime également beaucoup le premier dessin.
RépondreSupprimer