Professeur d'arts plastiques et artiste, Ronan Descottes a choisi un motif unique: le crâne
dont il réalise des variations à partir de monotypes.
Les feuilles obtenues, avec ces surcharges de couleurs, sont retenues ou pas par l'artiste.
La matrice retravaillée, ( feuille originelle à l'allure de palette ) peut être - ou pas- admise au statut d'oeuvre d'art-si son créateur le juge bon.
Les titres, y compris celui de l'exposition , sont empruntés à un journal sportif, ce qui donne une tonalité insolite aux tableaux et à l'ensemble:
"Pourvu que ça dure"
"La tête trop pleine"
"Dans le conflit permanent"
Liens ici
et là (article personnel, 2016, Lycée Le Verrier)
Plus un article du journal Ouest -France (2016)
Processus intéressant à explorer. Les crânes inspirent plus certains que d'autres... Je vois ton billet après avoir lu un article Télérama sur le livre de Jennifer Kerner "Le mari de nuit". Je vais de ce pas me promener... :-)
RépondreSupprimerCoucou
RépondreSupprimerThérèse.
Le télérama de cette semaine ?
Je n’ai pas trouvé cet article.
Y a-t-il un rapport avec cette expo?
Non pas de rapport seulement "le thème du crâne". Le télérama de la semaine dernière à propos du livre "Le mari de nuit"... de J. Kerner, des thèmes un peu sombres pour moi.
RépondreSupprimerOui, le thème du crâne, c’est ce que je voulais dire.
RépondreSupprimerQuant à l’article, je l’avais lu!
Missyves
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